La professeure au département de lettres et communication à l'UQTR Anne-Sophie Bally s'est attardée au contenu des messages vocaux envoyés par messagerie texte, dans le cadre d'une recherche portant sur l'évolution de la langue française parlée.
Écoutez-la faire part de quelques constats tirés de son analyse, dimanche, à l'émission Que Québec se lève.
«Je leur ai demandé pourquoi ils préféraient envoyer un message vocal plutôt qu'un texto. Et les gens ont dit qu'il y a des choses qui se disent avec la voix, qui ne se disent pas avec l'écrit. Les gens disent que c'est plus sincère, c'est plus proche, je peux envoyer des sentiments que l'écrit ne me permet pas.»