La chanteuse américaine Ingrid Andress a massacré l'hymne national américain, lundi soir, avant le concours de coups de circuit lors du match des étoiles du baseball majeur.
Mais il y avait une bonne raison... Andress a révélé, mardi, qu'elle était en état d'ébriété au moment de chanter et qu'elle irait dans un centre pour se guérir de cette dépendance.
Au micro de Louis-Phillipe Guy et de Valérie Lebeuf, Audrey de Montigny, finaliste de Canadian Idol en 2004 et désormais courtière immobilière, discute des défis de chanter l'hymne national sous pression et avec l'alcool, soulignant l'impact sur la réputation et la performance.
«Il y a énormément de stress. Au-delà de la préparation, quand on arrive au moment de chanter en direct devant tous ces spectateurs, il y a un stress qui s'installe, qui, pour certaines personnes, peut être difficile à contrôler, mais c'est le plus beau des stress, par expérience.»
Mais c'est plus compliqué après quelques verres...
«Chanter avec un verre dans le nez, ça dépend des circonstances. Chanter en présence d'amis dans une soirée karaoké, ça peut être comique, ça peut être drôle. Mais c'est sûr que devant tous ces spectateurs-là, il peut y avoir des inconvénients qui peuvent se produire.»
Et au niveau technique?
«C'est sûr, qu'a cappella, il y a une mélodie qui se produit dans notre tête. Il faut quand même être lucide. Il faut comprendre, il faut avoir le contrôle. Puis avec l'alcool, évidemment, on est en perte de contrôle. D'après moi, c'est ce qui est arrivé, malheureusement pour elle.»
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