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«Amazon, ce n'est pas un bon employeur, on s'entend là-dessus»
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Syndicalisation chez Amazon: «L'exemple du Québec va devenir un épouvantail»
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Licenciements chez Amazon: songez-vous sérieusement à favoriser l'achat local?
La direction d'Amazon Canada a annoncé mercredi qu'elle ferme ses sept entrepôts au Québec, mercredi.
Cette décision affecte 1700 employés permanents et 250 employés temporaires.
En fait, ceux-ci perdent tous leur emploi.
Les fermetures s’effectueront au cours des deux prochains mois.
Amazon soutient que la décision de fermer ses entrepôts n’a aucun lien avec la syndicalisation.
Plusieurs observateurs soutiennent qu'il faut maintenant boycotter le géant du commerce numérique. Une action qui n'offrira pas d'impact véritable selon le chroniqueur Luc Ferrandez.
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Doit-on boycotter Amazon?
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La date de cessation des activités varie selon l'établissement.
Selon le Nasdaq, la valeur boursière d’Amazon est de près de 2500 milliards de dollars américains.
À la fin du caucus présessionnel de la CAQ à Saint-Sauveur, dans les Laurentides, le premier ministre François Legault a réagi à cette annonce: «On va voir tout ce qu'on peut faire pour les aider à trouver un autre emploi. Je pense au secteur de la construction, qui cherche beaucoup d'employés.»
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François Legault réagit enfin au licenciement de 1700 personnes par Amazon
En entrevue avec les animateurs Nathalie Normandeau et Luc Ferrandez, mercredi, la présidente de la CSN Caroline Senneville a réagi à la fermeture de ces entrepôts. Elle indique notamment que c'est difficile de travailler chez Amazon.
D'ailleurs, le journaliste Dominique Cambron-Goulet a infiltré en 2020 un entrepôt d’Amazon afin de témoigner des dures conditions de travail, dans le cadre du documentaire L’envers d’Amazon.
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Amazon licencie 1700 employés: «Ses comportements sont antisyndicaux»
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L’envers d’Amazon: des conditions de travail plus que difficiles
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