Mario Lefebvre : dans l'ombre des plus grands de la musique

À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand commente l'élection présidentielle qui a lieu mardi aux États-Unis. Les Américains se rendent aux urnes afin de choisir qui de la démocrate Kamala Harris ou du républicain Donald Trump occupera la Maison-Blanche pour les quatre prochaines années.

«C'est aujourd'hui que les Américains votent. C'est l'élection qui s'annonce la plus serrée de l'histoire moderne. Durant le dernier blitz, lundi, Donald Trump et Kamala Harris ont fait campagne entre autres en Pennsylvanie. C'est l'État vraiment à surveiller. C'est l'État qui pourrait faire la différence.»

Près de 78 millions d'Américains ont déjà voté par anticipation. À part quelques problèmes locaux, le processus électoral semble bien se dérouler. 

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• Les taux hypothécaires baissent, mais les paiements demeurent élevés.

À l'occasion de sa revue de presse, Paul Arcand fait le tour de l'actualité et aborde notamment la place du privé en santé. Le ministre de la Santé, Christian Dubé, veut forcer les jeunes médecins à pratiquer dans le réseau public.

«On le sait les médecins prennent leur retraite plus vite, on manque deçà de médecin et on a un accès à la première ligne qui est déficiente, les gens sont tannés d'attendre. M. Dubé nous le répète qu'on n'en a pas assez pour notre argent.»

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• L'animateur, journaliste et chroniqueur, Herby Moreau, est décédé à l'âge de 56 ans.
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• Dans les dernières heures de la campagne présidentielle américaine, Kamala Harris parle d'avenir, alors que Donald Trump dit qu'il n'aurait jamais dû quitter la maison blanche.
• Le Parti québécois menace d'expulser un de ses membres pour dissidence.

À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand commente la fin de la campagne électorale - et la tension - qui a lieu aux États-Unis en marge de l'élection présidentielle du 5 novembre. 

«C'est mardi que les Américains vont voter. Le choix est entre Donald Trump et Kamala Harris. Il y a quelques constats qu'on peut faire. D'abord, c'est une campagne chaotique d'une violence verbale jamais vue.  [...] L'autre chose, très frappante, c'est le niveau d'anxiété des gens qui se demandent de quoi les États-Unis auront l'air le lendemain de l'élection. On sait qu'on ne connaîtra pas le gagnant le soir même, ça va prendre des jours, peut-être des semaines. [...] mais c'est la peur, l'insécurité...» 

-Paul Arcand

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