Plusieurs des joueurs de l'édition actuelle des Canadiens de Montréal en seront à leur première participation en séries éliminatoires.
Yvan Cournoyer n'a connu que ça, des séries éliminatoires avec le Tricolore. Et victorieuses, en plus, lui qui a remporté dix fois la coupe Stanley.
Écoutez Yvan Cournoyer parler du passé, du présent et de l'avenir tout proche des Canadiens en séries à l'approche des séries éliminatoires.
Les sujets discutés
- Pour les jeunes des Canadiens, les séries vont être toute une expéricence
- Sa première conquête de la coupe Stanley a été fort importante
- Le public actuel au Centre Bell est dur à battre, même par rapport aux publics qui assistaient aux matchs dans les années 1960
- De Ivan à Ivan (prononcez en Russe)
«Je lui ai peut-être passé mon nom, mais je ne lui passerai pas mon surnom de Roadrunner», dit-il.
Quel joueur actuel des Canadiens lui ressemble le plus?
«Je dirais Caufield, un peu. Il n'est pas grand. Il n'est pas gros. Il a un bon lancer et un bon coup de patin. Je suis bien ami avec lui. Je suis allé le féliciter après la partie.»
Et il lui a même donné des conseils à son arrivée...
«Quand il a commencé, il restait tout le temps sur le bord de la bande durant le jeu de puissance. Même son père m'avait demandé de rester après une partie pour lui parler et j'avais dit: ''Il faut que tu t'enlèves du bord de la bande, parce que tu vas peut-être scorer quelques buts de cette position, mais il faut vraiment que tu ailles en avant des buts. Quand j'ai commencé avec le Canadien, je jouais juste sur le jeu de puissance, alors je lui ai dit d'aller en avant des buts, puis de bouger plus que de rester à la même place.»
Aussi
- L'importance de tous jouer ensemble
- «Nick est un gentil bonhomme. J'ai joué au golf quelques fois avec lui.»
- «On est capables de battre Washington: j'en suis certain.»
Parce qu'on les a battus en 2010?
«On l'a fait avec une équipe moins bonne que celle qu'on a maintenant. On a deux excellents gardiens de but et on a de bons défenseurs qui sont stables et qui sont jeunes et ils jouent bien ensemble. On a quatre bonnes lignes... surtout avec Monsieur Ivan qui est de retour..»