L'ex-sénateur Pierre-Hugues Boisvenu discute de la libération conditionnelle du meurtrier de sa fille, en invoquant des préoccupations sur la sécurité publique et les inégalités dans le traitement des détenus autochtones.
Le sénateur critique les avantages accordés aux détenus se déclarant autochtones sans preuves et exprime ses inquiétudes sur le risque que le criminel représente encore, soulignant son passé violent et les témoignages de comportements déviants.
Il prévoit de confronter les commissaires plutôt que l'assassin lui-même pour assurer la sécurité publique.
«Cet individu-là ne peut pas sortir du pénitencier, il est encore dangereux »
Écoutez son témoignage complet dans l'extrait ci-dessus